Dans la police, et ils en ont marre.
Ca m'a obligé à changer, à réfléchir.
Vous vous rendez compte ?
Est-ce qu'on croit que c'est notre devoir de faire ça ?
C'est inhumain. Vous vous rendez compte ?
Vous croyez que j'ai que ça à faire ?
De mon côté, moi je pense que la question qui est posée est simple.
Qu'est-ce qui se passe en France ?
Le nombre de prostituées, de gauche comme de droite, a été multiplié par dix ces cinq dernières années.
Dans la police, je pense que c'est juste. C'est une décision personnelle et je l'assume pleinement.
Qu'est-ce que j'essaye de faire ? Le cœur de la politique, c'est l'argent facile, le racolage actif global et total, sans respecter aucune des règles. Il n'y a aucun risque.
Je vais même vous dire mieux : c'est un style de vie.
Il y a ceux qui me demandent d'ouvrir les maisons closes, que la France financera.
Je vais dire à ceux qui nous écoutent : c'est ce que nous allons faire et je pense que ça fait bien longtemps qu'on aurait dû le faire, parce que ce qui est très grave dans tout ce que je fais, c'est que j'y crois profondément.
Qu'est-ce qui se passe en France ? Qu'est-ce qui s'est passé ? Qu'est-ce qui se passe ? Qu'est-ce que j'essaye de faire ? Qu'est-ce que je veux faire ? Je vais même vous dire mieux : qu'est-ce que nous allons faire ?
On va truffer les autoroutes d'équipements technologiques, modernes pour qu'il y ait deux fois plus de morts sur les routes en France et dans les autres pays européens, par exemple l'Espagne ou par exemple l'Angleterre. C'est ce que nous allons faire.
La police, c'est la police des petits caïds, l'école du crime. Je reconnais bien volontiers cela. Vous savez – il faut que les Français comprennent – ça date de Vichy. Je pense que c'est juste. Le cœur de la politique, c'est de ne pas respecter les droits de l'homme. Ce qui fait que, aujourd'hui, je vous le dis très simplement, c'est le règne de l'arbitraire. C'est une réalité aujourd'hui.
La loi Sarkozy, elle conduit à la violence et elle conduit à l'intolérance, sans respecter aucune des règles.
Ce qui fait que maintenant, je veux dire aux Français, de gauche comme de droite, il n'y a pas de place pour vous. Je vais même vous dire mieux : je vais laisser moi aussi les banlieues devenir des zones de non-droit, où les trafiquants de drogue, où les gangs, où les bandes tiennent le haut du pavé. On laisse faire tout. Les ravages de la violence, les ravages de la drogue, les ravages de la brutalité, ça n'a aucune importance. Est-ce qu'il y a vraiment de quoi se draper dans sa vertu de Français ? Je ne vois vraiment pas pourquoi je devrais m'excuser, parce que ce qui est très grave dans tout ce que je fais, c'est que j'y crois profondément.
J'ai eu des hauts et des bas, beaucoup de bas. Qu'ai-je fait ? Qu'ai-je dit ? J'aimerais bien constater que j'ai peur. C'est normal. C'est la drogue. C'est un problème. On me dit souvent : "Mais, t'es pas fatigué avec tout ça ?" D'abord, je ne pense pas que je suis énervé, c'est la drogue. Et je reconnais bien volontiers cela. Vous savez, c'est une décision personnelle, et je l'assume pleinement. C'est pas pour m'amuser, c'est normal. C'est un style de vie. Non, parce que les mots ont un sens, voyez-vous ? Et je voudrais qu'on m'explique au nom de quoi la drogue, ça vous bouffe la vie. Vous savez la drogue, ça a toujours été, depuis ma plus jeune jeunesse en quelque sorte, ça m'a beaucoup marqué. Il faut assumer. Je vais même vous dire mieux, ce qui est très grave dans tout ce que je fais, c'est que j'y crois profondément.
Je ne vois pas pourquoi, je devrais m'excuser…
J'ai peur de Sarkozy..."
Ca m'a obligé à changer, à réfléchir.
Vous vous rendez compte ?
Est-ce qu'on croit que c'est notre devoir de faire ça ?
C'est inhumain. Vous vous rendez compte ?
Vous croyez que j'ai que ça à faire ?
De mon côté, moi je pense que la question qui est posée est simple.
Qu'est-ce qui se passe en France ?
Le nombre de prostituées, de gauche comme de droite, a été multiplié par dix ces cinq dernières années.
Dans la police, je pense que c'est juste. C'est une décision personnelle et je l'assume pleinement.
Qu'est-ce que j'essaye de faire ? Le cœur de la politique, c'est l'argent facile, le racolage actif global et total, sans respecter aucune des règles. Il n'y a aucun risque.
Je vais même vous dire mieux : c'est un style de vie.
Il y a ceux qui me demandent d'ouvrir les maisons closes, que la France financera.
Je vais dire à ceux qui nous écoutent : c'est ce que nous allons faire et je pense que ça fait bien longtemps qu'on aurait dû le faire, parce que ce qui est très grave dans tout ce que je fais, c'est que j'y crois profondément.
Qu'est-ce qui se passe en France ? Qu'est-ce qui s'est passé ? Qu'est-ce qui se passe ? Qu'est-ce que j'essaye de faire ? Qu'est-ce que je veux faire ? Je vais même vous dire mieux : qu'est-ce que nous allons faire ?
On va truffer les autoroutes d'équipements technologiques, modernes pour qu'il y ait deux fois plus de morts sur les routes en France et dans les autres pays européens, par exemple l'Espagne ou par exemple l'Angleterre. C'est ce que nous allons faire.
La police, c'est la police des petits caïds, l'école du crime. Je reconnais bien volontiers cela. Vous savez – il faut que les Français comprennent – ça date de Vichy. Je pense que c'est juste. Le cœur de la politique, c'est de ne pas respecter les droits de l'homme. Ce qui fait que, aujourd'hui, je vous le dis très simplement, c'est le règne de l'arbitraire. C'est une réalité aujourd'hui.
La loi Sarkozy, elle conduit à la violence et elle conduit à l'intolérance, sans respecter aucune des règles.
Ce qui fait que maintenant, je veux dire aux Français, de gauche comme de droite, il n'y a pas de place pour vous. Je vais même vous dire mieux : je vais laisser moi aussi les banlieues devenir des zones de non-droit, où les trafiquants de drogue, où les gangs, où les bandes tiennent le haut du pavé. On laisse faire tout. Les ravages de la violence, les ravages de la drogue, les ravages de la brutalité, ça n'a aucune importance. Est-ce qu'il y a vraiment de quoi se draper dans sa vertu de Français ? Je ne vois vraiment pas pourquoi je devrais m'excuser, parce que ce qui est très grave dans tout ce que je fais, c'est que j'y crois profondément.
J'ai eu des hauts et des bas, beaucoup de bas. Qu'ai-je fait ? Qu'ai-je dit ? J'aimerais bien constater que j'ai peur. C'est normal. C'est la drogue. C'est un problème. On me dit souvent : "Mais, t'es pas fatigué avec tout ça ?" D'abord, je ne pense pas que je suis énervé, c'est la drogue. Et je reconnais bien volontiers cela. Vous savez, c'est une décision personnelle, et je l'assume pleinement. C'est pas pour m'amuser, c'est normal. C'est un style de vie. Non, parce que les mots ont un sens, voyez-vous ? Et je voudrais qu'on m'explique au nom de quoi la drogue, ça vous bouffe la vie. Vous savez la drogue, ça a toujours été, depuis ma plus jeune jeunesse en quelque sorte, ça m'a beaucoup marqué. Il faut assumer. Je vais même vous dire mieux, ce qui est très grave dans tout ce que je fais, c'est que j'y crois profondément.
Je ne vois pas pourquoi, je devrais m'excuser…
J'ai peur de Sarkozy..."
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